Signature agrandie, peinture un peu écaillée sur la gauche; un peu étonnant, le style d'écriture penché sur la gauche !

Signature agrandie (Rouge écrit Walther avec "h".

 

Frédéric Rouge

(1867 - 1950)

 

Etudes

 

F11 = plein écran

 

 

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On trouve encore d'autres études sous forme de dessins très élaborés à la page : http://www.frederic-rouge-peintre.ch/Dessins/Etudes.htm
 

Deux valaisannes, d'après Vautier, 1884, huile sur toile
(47 x 33 cm)

 

Ce tableau a certainement été peint lors de la formation à l'Ecole des Beaux-Arts de Bâle, où Frédéric Rouge a obtenu un premier prix en 1884. Le tableau de Vautier dont Frédéric Rouge s'est inspiré peut être vu sous :

http://www.sikart.ch/Werke.aspx?id=10715506

B. Vautier, "La confession involontaire", huile sur toile, 1881

 

 

Après avoir obtenu un premier prix à l'Académie des Beaux-arts de Bâle en 1884 (il avait 17 ans), Rouge y est resté encore 5 mois, à la suite de quoi il a fait un stage chez le peintre Walter Vigier (1851 - 1910). Walter Vigier von Steinbrugg, né le 7.2.1851 à Soleure, mort le 1.8.1910 à Subingen, cath., de Soleure. Fils de Josef Wilhelm Viktor, il épouse en 1877 Fanny Zschokke, fille d'Olivier. Elève d'Auguste Bachelin à Neuchâtel (1870-1871), études à Munich (1871-1873) notamment d'anatomie auprès du sculpteur Christoph Roth, suivies de trois ans à Paris chez Léon Bonnat. Installation à Soleure au retour d'un voyage en Italie. Président de la Société suisse des beaux-arts (1882-1884). Séjour de plusieurs années à Munich. A côté de portraits et de paysages, Vigier peignit des tableaux inspirés de l'histoire suisse ainsi que des tableaux de genre. Il illustra aussi des œuvres de Jeremias Gotthelf et de Heinrich Zschokke. (Dictionnaire historique de la Suisse).

signé F. Rouge d'après Walther Vigier

 

 

 

Huile sur bois, signée F.R. Soleure d'après W. Vigier

 

 

Ci-contre, un portrait d'après Tischbein, huile sur toile.

 

 

 

 

 

 

 

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Mais c'est Paris qui attirre Frédéric Rouge. Il passera donc les hivers de 1886 à 1888 en suivant les cours du peintre Gustave Boulanger (1824 - sept. 1888) à l'Académie Julian à Paris.
Comme Boulanger est décédé en septembre 1888, Rouge eut en cette année-là un autre professeur à l'Académie Julian. Qui ?

 

Ces trois hommes nus ci-dessous ont été peints par Frédéric Rouge lors de son dernier stage à l'Académie Julian à Paris, en 1888.

Etude Nu No 1, Paris 1888, huile sur toile

Etude Nu No 2, Paris 1888, huile sur toile

Le Mendiant nu, 1888, huile sur toile

 

 

Femme nue assise, huile sur toile, étude, Paris 1886

(première année à l'Académie Julian)

 

 

Nu au fusil, huile sur toile,1887 (2ème année à Paris)

Il est possible qu'il s'agisse de la même personne que le "Mendiant nu" (1888)

 

 

Deux portraits de jeunes femmes peints en 1886, probablement à l'Académie Julian (huiles sur toile, env. 50 x 40 cm)

 

 

 

 

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Etude pour le Braconnier (1908)
[huile sur carton toilé, 22 x 24.5 cm]

 

 

Détail de la signature de

l'étude ci-contre

 

 

Etude pour "1914 Souvenir de la mobilisation de l'Armée suisse"

Voir le diplôme

 

Etude d'un soldat 1916 - reproduction coloriée par l'auteur

 

 

Etude pour le Retour au Foyer (1919)

 

Etude pour le Retour au Foyer (1919)

 

Etude pour le "Retour au Foyer" (1919)

 

 

Etude pour le "Retour au Foyer" (1919)

 

 

 

 

1919

Etude d'ensemble pr. le "Retour au Foyer"

 

Voir le diplôme

 

 

 

Etude Fête fédérale de Chant 1921

Etude pour "Un conseil" (1909)

 

Etude pour une affiche du Bitter (1933), voir l' affiche

 

Etude pour le Retour de vendanges (1933) voir le tableau

 

Etude d'une jeune fille au tricot (35 x 18 cm)

La bergère de "Un soir sous les chataigniers"

Etude pour un Vitrail de l'église de Vionnaz

 

 

 

Etude de bras

 

 

Etude d'une chaussure de dame

 
 
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